On avait annoncé l’assouplissement des règles de publicité télévisée, notamment au profit de la grande distribution et du cinéma. Mais jeudi, notre Ministre déclare y renoncer.
La situation de la presse écrite y est sans aucun doute pour beaucoup dans cette décision. Cette libéralisation aurait en effet signifié une baisse du chiffre d’affaires publicitaire de la presse écrite, déjà bien mise à mal par une baisse des ventes.
Mais nul doute que la question se reposera et que l’on ne peut pas ignorer non plus en la matière le rôle que jouera internet dans l’avenir.